Notre routine designe un ensemble d’habitudes qui donne une sensation de monotonie.
Mais concretement, qu’est-ce qui finit avec lasser les amoureux ? On a interroge des femmes pour leur demander leur avis sur la question…
1/ Notre routine, c’est un jeu de role.
«Le probleme, ce n’est aucun faire toujours identiques trucs, mais de devoir etre toujours la meme personne. Mes qualites et les defauts que l’autre nous attribue seront marques au fer rouge dans l’histoire du couple. Greg devoile que j’suis chiante : c’est devenu une caracteristique admise. Neanmoins, du coup, je me permets plus rapidement d’etre chiante avec lui qu’avec quelqu’un d’autre.», avoue Margaux, 28 ans, thesarde. « C’est vrai.», rencherit Line, 26 ans, commerciale. « Un jour, je lui ai demande d’ouvrir ma petite bouteille d’eau, parce que le bouchon est tellement bien visse que j’avais de la peine. J’aurais pu y arriver seule, mais je lui ai demande de l’aide. Quelque part, j’ai senti que ca lui faisait bonheur d’etre l’homme vraiment et que moi, ca me faisait plaisir d’etre la femme fragile. Depuis, je n’essaie meme plus : je lui tends le moindre bocal qui passe…»
Le couple se forme via 1 partage des roles. Celui qu’on mexican cupid application de rencontre accepte de jouer et celui que l’on attribue a l’autre. Sans s’en rendre compte, on reste devenu sa tante, sa fille, sa meilleure amie, sa confidente. Parce qu’on a ecoute une fois ses problemes. Deux fois. Trois fois. Et qu’aujourd’hui, il vit sa journee en pensant a J’ai facon dont il va nous la raconter le soir. Ce role accepte, il devient complexe d’en aller. Parce qu’il definit qui on reste via rapport a l’autre, notre fonction dans le couple et peut-etre la raison aussi Afin de laquelle on est aimee.
« Je n’aime pas la mode, je n’aime nullement des cosmetiques, je ne lis pas de magazines feminins… Et ca ne derange gui?re du tout mon mari. Cela ne me reproche jamais de ne point etre assez feminine. Au contraire, il adore beaucoup que je sois naturelle. Mais, c’est vrai qu’il m’arrive quelquefois d’avoir l’envie de mettre du rouge a levres entre autres. Si j’essaie d’en mettre, J’me demaquille dans la seconde ! Parce qu’en me voyant au miroir, j’ai peur d’avoir l’air ridicule : ce n’est jamais la figure auquel c’est habitue. Briser la routine, me concernant, ce pourrait i?tre sortir maquillee d’la salle de bain souvent.» admet Laetitia, 48 annees, responsable de rayon.
La routine commence donc via une vision de soi-meme que l’on propose au debut d’une relation… Une vision que l’autre nous impose ensuite, en la refletant. Jusqu’a ce que notre personnage finisse avec nous convaincre nous-meme.
« Neanmoins, le jeu de role est d’abord sexuel », precise Line.
« Dans un couple, Il existe forcement un domine et un dominant, un entreprenant et un passif, etc. On ne marche pas rapidement de l’un a l’autre au moment oi? la distribution a ete faite ».
Creer la surprise, c’est prendre le risque de faire peur a l’autre, de ne pas lui plaire, d’etre rejete. On n’ose pas forcement faire surgir l’imprevu au coeur d’un ballet beaucoup regle, d’une zone de confiance. Mais briser la routine, ne veut pas dire se lancer dans des pratiques qui ne nous paraissent nullement naturelles. Ca implique seulement de ne point rejouer sans cesse le meme role, mecaniquement. Se questionner via ses envies. Mes laisser jaillir. Ca va forcement surprendre l’autre. Mais la surprise est un des moteurs en sexualite.
2/ La routine, c’est une prison affective
On emploie souvent le commentaire « routine » Afin de dire autre chose. Cela arrive qu’un couple ait construit a deux des horaires, des habitudes, un mode de vie, et qu’il ait ensuite des difficultes a s’ouvrir a toutes les autres… Deux adeptes du cocooning vont pouvoir avoir mode a considerer toute invitation a Realiser la fete tel une atteinte a leur bien-etre. Le souci, Di?s lors, c’est que l’on finit par s’enfermer. Parce que l’on ne se sent plus vraiment en marketing qu’en couple. Notre partenaire devient un refuge. Et un chacun exterieur, une menace.
« Avec le ex, on ne se quittait pas. On se retrouvait l’ensemble des soirs, on ne sortait nullement l’un sans l’autre. Si j’allais a une fi?te sans lui, je pensais d’avantage a ce qu’il est occupe i faire de son cote qu’a m’amuser. En fait, je crois que j’avais bien le temps peur de le perdre. », raconte Alexandra, 26 ans, estheticienne.
Notre routine pourra parfois dissimuler une dependance affective mutuelle. On se construit un monde a 2, un rythme a deux, une vision a 2. On juge des autres a 2. Et on finit via eprouver une sensation enfermement. On accuse l’appartement d’etre trop petit, la metropole d’etre desagreable, on aimerait demenager, demissionner, partir a l’etranger, mais c’est en realite le couple qui est devenu etouffant.